Béatrice WILLAUME, adhérente active de la MCL

Vous êtes une adhérente très active, est-ce que c’est ainsi depuis longtemps ?

Depuis que j’habite à Gérardmer, en 2010, au moment de ma retraite. Mais je connaissais déjà la MCL car j’avais gagné un concours de nouvelles sur le cinéma, ma nouvelle y avait été lue en 2003.

Quelles sont les activités qui vous attirent le plus à la MCL ?

Étant avide d’activités, j’essaie de me limiter ! 
Auparavant je faisais partie de la chorale avec Yves Orel, j’étais membre de la commission culturelle, ce qui m’avait permis d’aller 2 fois à Avignon. J’ai aussi fait de la country à l’époque où il y en avait, du théâtre avec une troupe professionnelle, Les Corps en Voix, qui avait été programmée par la MCL à l’Espace Lac … Mais je me « contente » dorénavant des sorties nature (photo ci-contre), du cinéma et de l’opéra quand je peux. J’ai aussi adoré participer au stage de théâtre et confiance en soi organisé il y a quelques mois.

Que diriez-vous à quelqu’un qui n’a jamais mis les pied à la MCL et qui hésite à venir ?

Mais qu’est-ce qu’il attend pour passer la porte ! Il y a une programmation de cinéma vraiment géante, et un sans faute cette année pour les spectacles.

Trois adjectifs pour vous décrire ?

Exubérante (parfois jusqu’à l’agacement pour certaines personnes), enthousiaste et passionnée. Je reconnais que c’est parfois difficile à vivre pour les autres, mais je me calme avec les années :-). J’ai tellement de passions qu’il m’est difficile de tout approfondir…

Un animal totem ?

Le beluga.

Une œuvre culturelle  (livre, ciné, série…) que vous recommanderiez à tous ?

La série Breaking bad, pour moi The série 🙂 !
J’étais aussi très fan de Game of Thrones. Et dans un autre style, la collection de livres « Angélique » d’Anne Golon, d’une richesse historique formidable qui se déroule sous Louis XIV, à la fois sur le Vieux Continent et sur le Nouveau Monde sur les guerres franco-iroquoises, la naissance de Québec, la révocation de l’Edit de Nantes, …. absolument passionnant et bien loin de l’image un peu mièvre des films avec Robert Hossein et Michèle Mercier.