Quel a été votre parcours notamment associatif avant d’arriver à la MCL ?
J’ai commencé ma vie associative et militante par être déléguée de parents d’élèves et représentante syndicale au sein d’un hôpital privé associatif. Puis à Gérardmer j’ai découvert la MCL par ses diverses portes d’entrée : accueil de loisirs pour mes enfants, divers ateliers pour moi, cinéma, spectacle pour ma famille… Parallèlement j’ai intégré plusieurs associations culturelles et ou sociales en direction du public souffrant d’addiction ou des familles étrangères éloignées de la culture.
Comment en êtes vous venue à être présidente de la MCL ?
Mon passage en tant qu’élue à la Ville de Gérardmer m’a fait découvrir la maison de l’intérieur, et depuis une dizaine d’années j’ai été trésorière avant d’être présidente. Aujourd’hui, malgré les difficultés inhérentes à toute association j’ai voulu faire évoluer le CA en sollicitant de nouveaux administrateurs porteurs de nouvelles idées.
Comment définiriez-vous la MCL, qu’est ce qu’elle représente pour vous ?
La MCL est pour moi un lieu de mixité sociale, fait de rencontres et d’apprentissages.
Un animal totem ?
Je n’ai pas vraiment d’animal totem même si je reconnais le rôle positif ou apaisant que peut avoir un animal auprès de nous. Mais si je me réfère à mon signe astrologique… celui du taureau….auquel je ne crois pas , évidemment ! Mais quand même !
3 adjectifs pour vous décrire ?
Je serais plutôt « de nature positive, constructive et profonde avec un goût pour les relations chaleureuses et apaisées, » et ça, ça me va !
Un film, une série, un livre, que vous recommanderiez à tous ?
Chez mes parents il n’y avait pas de livres et pas de télé.
Pourtant j’ai rapidement développé une curiosité et une appétence pour la lecture et le cinéma. Mes goûts sont assez hétéroclites avec une préférence pour le roman historique comme « mille femmes blanches » de Jim Fergus ou « Le soleil sous la soie » de Eric Marchal, captivant.
Par ailleurs j’ai un goût atavique pour le cinéma italien. Pour moi les échanges, le partage de connaissances, l’implication dans la vie locale me permettent de mieux comprendre la société dans laquelle nous vivons.